15 mai 2015

Bonheur et Salut


Universalité et générosité de l'Appel d'Arès : ce n'est pas ce à quoi l'on croit qui est déterminant, mais ce que l'on fait. Dis autrement, que l'on soit croyant ou incroyant, ce qui nous justifie aux yeux de Dieu (et nous sauve), ce ne sont pas nos croyances, mais nos actes !

La vie spirituelle est existentielle.

Jésus le disait déjà il y a 2000 ans : "ce n'est pas celui qui me crie Seigneur qui se sauve, mais celui qui fait la volonté de mon Père qui est aux cieux" (Matthieu 7/21).

On peut être croyant, incroyant, athée ou agnostique... ET spirituel pourvu que l'on s'efforce d'aimer, de pardonner, de répandre la paix, de se libérer de toutes peurs et de tous préjugés et retrouver l'intelligence du cœur. Cela seul contribue à changer le monde en Bien. Cela seul peut faire revenir l'humanité vers le bonheur. Dieu ne veut pas autre chose pour l'homme. Et à tout prendre, Il préfère que l'équité (entre les hommes) s'établisse sans son Nom plutôt qu'en Son Nom règne ce qu'Il a en horreur (Rév. d'Arès 28/10).

Pourquoi les religions ont elles escamoté un message si simple ? Parce qu'elles se sont montrées plus soucieuses de maintenir leur trônes et leurs chaires que de rappeler la vérité (28/7) et de faire évoluer les hommes vers le Bien. Elles ont entretenu un mal dont elles ont besoin pour vivre. Comment s'étonner dès lors que de nos jours les hommes se détournent d'elles ?  Puissent-ils comprendre, ces hommes, tous les hommes, que foi, Dieu et religion sont trois choses distinctes, et qu'une seule chose importe in fine : Le Bien que l'on fait. Là est DIEU et LA VIE ! De cela seul dépendent le bonheur et le salut, le leur comme celui du monde.

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