26 mai 2015

La Parole de Dieu


La Révélation d’Arès ne fonde pas de religion, et pour cause : elle appelle à sortir de la religion pour retrouver la vie spirituelle libre.

Dieu, tel qu’on le découvre dans ce message, n’est pas le dieu terrible, le dieu-vengeur ou le dieu-juge des religions, figures mythiques hérités des temps antiques.

Dieu est avant tout un Père-Mère aimant qui se soucie du sort de ses enfants, les hommes, tous les hommes, et qui vient redire pour la énième fois à l’Humanité souffrante que le mal ne sera pas vaincu par les pouvoirs, les lois, les dogmes, les rites,…ni les systèmes sociaux, politiques ou économiques… mais que le mal, profond, sera vaincu par l’homme qui rend le Bien actif dans sa vie, celui qui aime, pardonne, fait la paix en toutes circonstances, réfléchit avec cœur, lutte contre ses préjugés et ses peurs.

Des lors, lire la Parole de Dieu, ce n’est pas réciter des crédos ou des formules supposés magiques pour s’attirer grâce ou protection, conception antique et mercantile de la foi.

Lire la Parole de Dieu, c’est simplement prendre connaissance de la longue lettre intime que le Père de toute chose adresse à son enfant humain qui s’est éloigné de Lui (et du Bien), et entendre Son Appel à revenir vers Lui. Dans cette lettre qui est autant un cri d’alarme qu’un cri d’espoir, le Père nous invite à retrouver la Vie (24/2-3) et nous montre la voie pour y parvenir.

L’homme qui s’engage dans cette voie vers le Bien a déjà un pied dans l’avenir, c’est “un homme du temps qui vient” (Révélation d’Arès 3/13).

15 mai 2015

Bonheur et Salut


Universalité et générosité de l'Appel d'Arès : ce n'est pas ce à quoi l'on croit qui est déterminant, mais ce que l'on fait. Dis autrement, que l'on soit croyant ou incroyant, ce qui nous justifie aux yeux de Dieu (et nous sauve), ce ne sont pas nos croyances, mais nos actes !

La vie spirituelle est existentielle.

Jésus le disait déjà il y a 2000 ans : "ce n'est pas celui qui me crie Seigneur qui se sauve, mais celui qui fait la volonté de mon Père qui est aux cieux" (Matthieu 7/21).

On peut être croyant, incroyant, athée ou agnostique... ET spirituel pourvu que l'on s'efforce d'aimer, de pardonner, de répandre la paix, de se libérer de toutes peurs et de tous préjugés et retrouver l'intelligence du cœur. Cela seul contribue à changer le monde en Bien. Cela seul peut faire revenir l'humanité vers le bonheur. Dieu ne veut pas autre chose pour l'homme. Et à tout prendre, Il préfère que l'équité (entre les hommes) s'établisse sans son Nom plutôt qu'en Son Nom règne ce qu'Il a en horreur (Rév. d'Arès 28/10).

Pourquoi les religions ont elles escamoté un message si simple ? Parce qu'elles se sont montrées plus soucieuses de maintenir leur trônes et leurs chaires que de rappeler la vérité (28/7) et de faire évoluer les hommes vers le Bien. Elles ont entretenu un mal dont elles ont besoin pour vivre. Comment s'étonner dès lors que de nos jours les hommes se détournent d'elles ?  Puissent-ils comprendre, ces hommes, tous les hommes, que foi, Dieu et religion sont trois choses distinctes, et qu'une seule chose importe in fine : Le Bien que l'on fait. Là est DIEU et LA VIE ! De cela seul dépendent le bonheur et le salut, le leur comme celui du monde.